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Complétez en ajoutant la conjonction, la locution conjonctive, la préposition ou l'adverbe de comparaison par le contexte

Ce soir-là, Mme Rancy avait le cafard. Elle se demandait si elle avait été une [01] bonne mère que la sienne. En effet, son fils Charles lui donnait de [02] en plus de soucis.
Bien sûr, le proverbe disait: « [03] père, tel fils », mais justement, son fils était très différent [04] son père. M. Rancy était un homme [05] poli qu'attentionné, plein de gentillesse, et ne disant jamais de gros mots. Plus on le connaissait, et [moi ns] on avait de doute là-dessus.

Mais [06] le père était gentil, autant le fils ne l'était pas. Il ne rangeait jamais ses affaires, [07] moins que sa mère le faisait pour lui. Il fallait le lui demander pas moins [08] trois fois avant qu'il n’accepte de se baisser pour ramasser quelque chose. Pourtant, elle l'avait élevé [09] ses autres enfants. Elle ne l'avait jamais traité [10] que les autres. Mais il était différent [11] ses frères et sœurs.

Et sa petite amie était encore [12] que lui. Au début, Mme Rancy arrivait encore à parler avec elle. Elle arrivait à lui tirer un peu plus [13] trois réponses dans la semaine. Mais la situation avait changé le jour où Mme Rancy lui avait fait une réflexion sur un ton un peu plus sec [14] d'habitude. Alors, la jeune-fille lui avait répondu [15] si Mme Rancy était un chien. Et les choses sont allées de mal en [16] .

L'affreuse fille la calomniait et disait toujours [17] que pendre sur elle. Mme Rancy aurait bien aimé que son fils quitte cette fille, mais [18] elle se plaignait d'elle, et [19] Charles acceptait ses critiques.

Finalement, la situation étant devenu [20] qu'explosive, Charles disparut avec sa Dulcinée, sans la [21] explication. Mme Rancy en souffrit beaucoup, encore [22] qu'elle ne l'aurait cru. Quand elle avait quitté ses propres parents, elle avait pris beaucoup [23] de précautions pour ne pas les choquer. Mais les temps changent. [24] temps, [25] mœurs.


© Christian Meunier Berlin/Marseille 2011